« Emplies d'ambitions déçues et de haines recuites. »
Aujourd'hui en France Dimanche
« Capable d'une rare humanité, Richard Russo montre des hommes et des femmes qui ont envie d'un nouveau départ. Des êtres touchants avec leurs rêves déçus, leur bonheur trop fragile, leurs amours inachevées. »
Livres Hebdo - Alexandre Fillon
« Chez Russo, la misère est moins pénible qu'ailleurs, l'amour irradie dans les coins les plus sombres et l'humour transforme le plomb de l'Amérique moyenne en or. Enfin traduit en français, ce premier roman est une pépite. »
Le Figaro magazine - Laure Mentzel
« Profondément humain, Mohawk montre avec une justesse tragicomique comment aucune vie, prise isolément, n'a de sens. »
L'Hebdo
« Mohawk est le premier roman de Richard Russo, et l'on retrouve avec bonheur ce qui traverse toute l'oeuvre de cet écrivain, la sensibilité, l'humour et cet attachement à ses personnages même les plus secondaires. »
Librairie Garin
« La vie... frémit entre ces pages, une rhapsodie de coeurs écorchés, sous la plume d'un virtuose de la psychologie. »
Lire - André Clavel
« Une ample fresque: le portrait précis et âpre, tracé à hauteur d'homme, d'une communauté, d'une bourgade à la prospérité jadis assise sur l'industrie, en l'occurrence le travail du cuir, mais depuis le mitan de XXe siècle minée par les répercussions des mutations économiques à grande échelle. »
Télérama - Nathalie Crom
« On est ici en terrain archi-connu, mais Russo sait comme personne donner vie à ses personnages et à ses décors, d'une attachante banalité. À Mohawk, il est question d'amour impossible, de chagrins inconsolables, de fierté douloureuse... »
24 Ore - Sébastien Bonifay
« Richard Russo fait un monde cohérent et d'une tristesse implacable, avec quelques lueurs de générosité, de chaleur, de drôlerie, instants fugaces. Pas plus qu'on ne peut quitter Mohawk, la ville ne peut échapper à son déclin! »
Parutions.com - Marie-Paule Caire
« Sensibilité et justesse, malice mais aussi empathie pour ceux que la chance néglige, tout l'art de Richard Russo - qui culminera dans "La chute de l'Empire Whiting", prix Pulitzer en 2002 - est déjà dans cet opus qui porte haut la lutte des plus humbles pour conquérir dignité et autonomie. »
La Libre Belgique - Geneviève Simon
« C'est la force de Richard Russo, ce don d'empathie, cette sensibilité qui n'est jamais sensiblerie. Chez lui, les hommes pleurent plus souvent qu'à leur tour en on n'a pas envie pour autant de les traiter de mauviettes ou de lâches. »
Le Figaro littéraire - Bruno Corty
François Busnel est allé à la rencontre de Richard Russo
« Par le biais de flash back, Russo tisse un récit dont chaque histoire constitue un fil. Il dépeint les ambitions avortées, les amours et les haines cachées et dévoilé progressivement les secrets des personnages. »
La Marseillaise