« On aime la tonalité montherlantienne de l'essai de Denis Tillinac. »
La Une
« Denis Tillinac, ce bretteur sans épée, écrit bien, très bien. »
Le Point - Jean-Paul Enthoven,
« Denis Tillinac dresse à partir d'un travail d'écrivain, très fouillé et érudit, des constats sur la culture, la francophonie, la politique. »
La Montagne - Philippe Gonin
« (une nostalgie) de qualité, et portée par une écriture musclée, au mieux de sa forme. »
Le Bien Public - Jean-Philippe Mestre
« Tillinac pose dans une langue qui fera la joie des puristes des questions qui ne manquent pas d'intérêt. »
La Marseillaise - Jacques Lovichi
« Avec sa verve sensible et ses formules sentimentales, Tillinac mélange mieux que personne la réflexion sur l'histoire contemporaine avec les petites considérations de politique hexagonale (...) Soyons reconnaissant à Denis Tillinac d'ouvrir fortement sa "gueule" et de faire le bedot au clocher du village, car il y a le feu. »
L'Auvergnat de Paris
« Au fil des disgressions et des balades charmeuses, Tillinac dresse l'inventaire lucide de son héritage culturel et moral. »
Valeurs Actuelles - Valérie Collet
« Comment ne pas suivre Tillinac dans sa dénonciation des hypocrisies, des travers et des ridicules de notre époque (...) Son talent de polémiste, l'acuité de son regard (...) s'y déploient avec aisance. »
Sud Ouest Dimanche - Patrick Berthomeau
« Une pureté de style, une énergie et une généreuse prodigalité. »
La Gazette - Pascale Charrière
« Au fil de la plume, tous les sujets sont abordés : la politique, la société, l'art, la pensée, dans une optique lucide et pessimlste. (...) C'est un vagabondage écrit dans un style recherché. »
Notes Bibliographiques
« Un essai qui fait grand bruit »
La Dépêche du Midi
« Il y a un ton Tillinac, fait d'enjouement, de panache, de juvénilité gaillarde. Une nature d'écrivain primesautière et allergique à l'embrigadement (...) Tout ce qui fait le charme de ses livres où l'on relève aussi une vertu trop oubliée : un bon sens solide, terrien narquois qui souligne des vérités salutaires. »
Le Monde - Pierre Kyria
« Tillinac revendique haut et fort l'étiquette d'anarchiste : à le lire, on est prêt à le suivre. »
Dernières Nouvelles D'Alsace - François Busnel
« Les coups de projecteur sur les travers de notre société sont bien vus. Tillinac les décrit avec force et précision - avec poésie aussi. »
La Nef
« Sa langue est poétique, surprenante, pleine de formulations inattendues et charmeuses qui nous guettent au coin du bois. Avec ce livre de maturité, Tillinac nous a donné un beau monstre: illuminé par la nostalgie, rongé d'espérance. »
Rivarol - Clément Vignot
« C'est un livre d'adieux en formes de digressions baignées de mélancolie. »
Le Havre Presse
« L'indécrottable villageois se révèle infatigable bourlingueur (...) Le solitaire farouche enregistre tout et comprend tout parce qu'il est doué d'hypersénestésie. Et parce que sans s'en vanter, il est étonnamment cultivé. »
Royaliste
« Tllinac a la morosité délectable . Et l'on apprécie l'amertume de ce poème crépusculaire, il galope et nous emporte et signe là un bel essai. »
Impact Médecin - Jean-Christophe Rufin
« Un style mariant à la perfection l'incisif avec le pathétique. »
Témoignage Chrétien
« Récit d'une lucidité implacable. »
Le Journal de l'Ariège - Laurence Catinot Crost
« Les Masques de l'Ephémère se veulent un regard personnel et passionné sur cette fin de siècle et deviennent en cela l'oeuvre d'un romancier attaché autant à sa région, la Corèze, qu'à une langue qu'il défend avec verve. »
Options
« Entre Huxley et Orwell, Tillinac porte le deuil de notre histoire, avec une belle profondeur et le rythme d'un style. »
Spectacle du Monde - Vincent Trémolet de Villiers
« Une réflexion salutaire sur notre temps, sans que l'on soit pour autant obligé de souscrire à tout. »
L'Express
