Rue Corneille
- Vermillon
- Paru le 05/03/2009
- Genre : Littérature française
- 208 pages - 140 x 205 mm
- EAN : 9782710330981
- ISBN : 9782710330981
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« Denis Tillinac a toujours le même talent, la même patte. Le même gout pour le panache, la polémique, et la même fidélité à ses valeurs. »
Livres Hebdo - Jean-Claude Perrier
« Dans ces mémoires, le venin de la mélancolie se mêle à celui de la nostalgie. »
Blog Kallyvasco - Léon Mazzella
Géraldine Muhlmann a reçu Denis Tillinac dans Cactus sur Paris Première le 6 mars.
Denis Tillinac était l'invité de Philippe Bouvard sur RTL le 12 mars dans l'émission Les Grosses Têtes.
Alain Marshall et Olivier Truchot ont convié Denis Tillianac sur RMC dans l'émission les Grandes gueules le 12 mars.
« Dès les premières pages, Denis Tillinac donne le ton. Il dira le proche et le lointain, le public et l’intime, sans oublier le détail d’une impression ou d’une oeuvre. Ni le style. »
La Montagne - Daniel Martin
« La tendresse de Tillinac pour ces "années Table Ronde" lui inspire des pages émouvantes. »
Sud-Ouest Dimanche - Christophe Lucet
Nicolas Poincaré a reçu Denis Tillinac dans On refait le Monde sur RTL le 18 mars.
« Comme dans un film de Sautet, où les copains se disputent mais ne meurent jamais, Tillinac ressuscite en couleur les fantômes de la Rue Corneille. Inoubliable. »
Valeurs Actuelles - Eric Branca
« Dans Rue Corneille, Denis Tillinac laisse parler son coeur, exprime son désenchantement. »
La Dépêche du Midi
Denis Tillinac était l'invité de Sylvain Attal sur France 24 le jeudi 26 mars.
Denis Tillinac était l'invité de Laurent Ruquier dans On n'est pas couchés sur France 2 samedi 28 mars.
Vidéo de l'émission sur le site de Telle est ma télé
« Enfin, un écrivain dont j'ai toujours apprécié la culture, le charme, la mélancolie, l'humour. »
Le JDD - Bernard Pivot
« Une plume alerte (et) légère. »
Service littéraire - Jacques Aboucaya
« De Paris, d'Afrique, de Corrèze, ou d'ailleurs, Denis Tillinac égrène souvenirs et impressions, au gré de ses coups de foudre et au fil du désamour. Ses déceptions dessinent en négatif sa vision de l'essentiel. »
Direct soir
« Denis Tillinac sent les hommes, l'époque. Les pages les plus émouvantes sont consacrées à la Table Ronde. »
Les Echos - Emmanuel Hecht
« On le lit et on se dit, telle madame de Sévigné quand elle feuilletait Montaigne : "Comme j'aurais aimé l'avoir pour ami". »
Paris Match - Gilles Martin-Chauffier
« Un style plus que séduisant. »
Présent - Yves Chiron
« Une écriture (...) à la tournure souple et désinvolte qui étrille qui étrille l'esprit mais adoucit les coeurs. »
Impact Médecine
« Un livre de souvenirs (...) où on croise la nostalgie et la bagarre. »
Famille Chrétienne
« Un livre sincère et très émouvant. »
Le Courrier Picard - Philippe Lacoche
« Un livre d'humeur écrit avec talent. »
L'Essor Sarladais - Jean-Luc Aubardier
« Denis Tillinac sait toujours aussi bien "user de la nostalgie comme d'une lanterne magique". »
Dauphin Libéré - François Billy
« (Denis Tillinac), un écrivain et rien d'autre (...), ça ressemble vaguement à un film de Sautet, les copains qui vieillissent ensemble, les illusions qui s'évaporent... »
La Croix - Jean-Claude Raspiengeas
« Des scènes de genre et (..) une galerie de portraits crayonnés avec autant d'ironie que de tendresse. »
Concours magazine
« Le recit fourmille de personnages. Son tableau du monde en est tout coloré. »
Politique Magazine
« Avec sa truculence, Denis Tillinac défend "un héritage vivant, libre et joyeux, celui du Dieu de nos pères", héritage crucial à l'heure d'une crise profonde d'identité. »
Le Populaire du Centre
« Denis Tillinac a le don de raconter en captant l'attention (...) et de tout mêler. »
Le Point - Gilles Pudlowski
« Traçant quelques portraits attachants d'un ton mi-sérieux mi-goguenard, il nous livre ses souvenirs avec une tendresse rétrospective voilée de mélancolie. Tillinac demeure un écrivain français à part entière, hanté par l'Histoire. »
Le Spectacle du Monde - Manuel Burrus
« Rue Corneille est une promenade dans les dernières années de "sa" Table Ronde, belle ballade en partie en hommage à Marie-Caloni, car c'était elle "sa" Table Ronde. »
Le Magazine des Livres - M. Baumier