« Un roman où l'écrivain a rassemblé tous ses thèmes de prédilection. [...] 100% Matzneff, 100% russe, ses fans vont adorer. »
Livres Hebdo - Jean-Claude Perrier
« Moins un roman historique qu'une chronique des amis de longue date. »
Zone critique - Alexandre Poussart
« Matzneff écrit depuis toujours des romans qui sont chacun l'écho de l'autre »
Le Point - Jean-Paul Enthoven
« À la fois chronique familiale et hymne à l'amitié. »
Le Figaro littéraire - Thierry Clermont
« Le nouveau roman, alerte et ironique, de Gabriel Matzneff est placé sous l'invocation de la beauté et de la liberté. [...] N'est-ce pas suffisant pour lui attirer des lecteurs à la recherche de l'imprévisible, de l'inattendu, loin du monde qui nous emprisonne ? »
Valeurs actuelles - Alfred Eibel
« À lire Matzneff, une question s'impose : et s'il était notre Stendhal ? »
Causeur - Christopher Gérard
« Du Matzneff en rafale »
Paris Match - Philibert Humm
« Un roman altier »
Le Magazine littéraire - Jean-Claude Perrier
« Élégant et allègre, ce livre est un petit bijou qui témoigne combien Gabriel Matzneff est aujourd'hui l'un des meilleurs orfèvres en son art. »
Études - Patrick Brunel
« La seule allusion à Jacques le Fataliste suffit, du reste, à suggérer la qualité de ce roman, écrit, de surcroît, dans un style délectable. »
Salon littéraire - Jacques Aboucaya
« Gabriel Matzneff y déploie un style et une maîtrise éblouissants. »
BSC News - Marc-Émile Baronheid
« Gabriel Matzneff, l'un des meilleurs romanciers et prosateurs de notre époque, aime avancer dans ses livres totalement à découvert, provocateur, élégant, érudit, narcissique et curieux. [...] On se demande parfois s'il se moque. Il est libre et simplement brillant. »
Petites Affiches - La Loi
« Poésie, journal, roman, le sujet des livres de Gabriel Matzneff est toujours le même, invariable, dans le fond assez riche, stable, malgré tout renouvelé : lui-même. Comme cet excellent Montaigne, il est lui-même la matière de ses livres [...] il se souvient, commente, fait aimablement entrer son lecteur dans son intimité, lui fait partager ses goûts et ses réflexions, ses commentaires, ses envies, ses désirs. [...]
Le tempo donné par Matzneff à son monde, à son histoire, le plaisir, en définitive, que, par-delà l'agacement, il procure à son lecteur, enchanté à chacun de ses opus de le retrouver, et avec lui, puisque dans ses livres il n'y a que lui, tout lui ; de renouer avec sa liberté, son intelligence, son indépendance d'esprit, sa verve. Avec son insolence et son art de marier tragique et légèreté. Avec son allure. Tellement d'hommes n'en ont aucune. »
InCorsica - Robert Colonna d'Istria
« Le roman toujours allègre d'un dilettante amoureux d'une Italie stendhalienne, d'un épicurien gourmand nommant "messaggini" les SMS, l'insolence du refus des contraintes, l'éloge du voyage et le goût immodéré de la liturgie orthodoxe. »
Tribune Bulletin Côte d'Azur