« On se régale de ce récit au vitriol d'une Angleterre pas si lointaine. »
Biba - Samuel Loutaty
« Les dialogues crépitent comme un feu de sarments. »
Le Figaro littéraire - Éric Neuhoff
« La romancière excelle, comme toujours, à sonder les cœurs indécis. Mais aussi, avec un brio délectable, à illustrer nos conflits via l'impossible cohabitation entre un chat tyrannique et un chiot insupportable. »
La Croix - Emmanuelle Giuliani
« Impossible de trouver une seule phrase banale dans ce roman à la fois sombre et hilarant dont l'esprit est un enchantement. »
Elle - Olivia de Lamberterie
« Les thèmes de prédilection d'Elizabeth Jane Howard sont abordés avec finesse et humour, sans exclure parfois une certaine gravité. Les dialogues pétillent, la bonne société en prend pour son grade, et les personnages donnent le ton. Quel talent ! »
Version Femina - Anne Michelet
« Un roman grinçant et le portrait d'une époque où les femmes rêvent de liberté et d'émancipation. »
Modes & Travaux - Bernard Babkine
« Il s'agit d'une comédie familiale — la famille aura son lot de tragédie, parce que c'est la vie — où la conjugalité est tantôt une bonne et une mauvaise expérience, où l'aptitude à empoisonner autrui n'a pas d'âge. »
Libération - Claire Devarrieux
« Le phénoménal talent de Howard pour rendre compte des états d'âme, des cheminements de pensée intime, des menus et signifiants détails du quotidien se confirme, comme souvent, une fois passé le premier quart du roman. Ainsi que son ironie, son sens de la description. »
Télérama - Juliette Bénabent
« Elizabeth Jane Howard calcule ses effets de surprise, sans effets de manche mais assez pour nous arrêter au milieu d'une phrase. On ne le remarquera peut-être pas immédiatement mais, ensuite, c'est un feu d'artifice et chaque assemblage inattendu de mots qui ne semblaient pas faits pour se rencontrer devient un moment de plaisir. »
Le Soir - Pierre Maury
« D'un manoir glacial à la vie de nabab sur la Riviera, du Londres des années soixante à la Jamaïque, Elizabeth Jane Howard suit l'affranchissement de ses héroïnes jusqu'à la chute pour le moins inattendue dont on déguste la fatale ironie. »
Presse Océan - Frédérique Bréhaut