« Vous ne connaissez pas Valérie Rouzeau ? Lisez-la : vous ne pourrez plus vous en passer. »
Le Figaro littéraire - Thierry Clermont
« Comme l’enfant qui découvre peu à peu la magie des mots, Valérie Rouzeau les redécouvre à son tour, en les recréant, et balbutie un langage unique, propre à elle. »
La Quinzaine littéraire - France Burghelle Rey
« Un très beau livre, cocasse, frétillant de modernité, sans lourdeur, à l’aune des petits animaux ailés, aimés qu’il contient dans ses branches. »
La Cause littéraire - Philippe Leuckx
« Précieuse Valérie Rouzeau. On reconnaît entre toutes son écriture limpide et singulière quand elle demande au Père Noël un bon silence, le vide ou un grand rien pour bien mettre les pendules à l’heure ! »
Le Monde des Livres - Didier Cahen
« Si la musique, la poésie, l’amour sauvent de tout, alors il est urgent de la lire ! »
Le blog de Gwénaëlle Abolivier
« C’est à lire d’urgence, au grenier bien sûr, et partout ailleurs : il y a dans ces poèmes une force d’envie qui embellit le moment, et qui dure. »
Ouest-France - Philippe Simon
« On est ici dans le sonore, le rythmique, l’homophonique, l’euphonique, le cacophonique aussi, bref dans ce qui fait son et sens à la fois. »
Revue Texture - Marilyse Leroux
« La poésie de Rouzeau n’est pas d’abord complexe, on peut la lire sans précaution, sans arrière-pensée ou suspicion, même si elle est tendue, parcourue de forces opposées qui ne la déchirent pas mais la tiennent dans un équilibre peu stable, mouvant, celui du vivant. »
Poezibao - Antoine Emaz
« Une poésie sincère, imaginative et parfois insondable. Le paysage poétique a besoin d'une telle présence pour sauver de l'ennui ambiant le lecteur exigeant. »
L'Intranquille - Françoise Favretto