Pour en finir avec le travail
Marx a dit en son temps que le travail était la forme moderne de l'esclavage. Marx n'est plus à la mode et Xavier Patier n'est pas marxiste ; mais il considère que le travail, dans ses formes contemporaines, asservit l'homme, le dissocie psychologiquement, le dégrade spirituellement, génère de l'agressivité, du racisme, de la laideur, du chômage.
Et Xavier Patier le prouve, chiffres à la clef, avec beaucoup d'ironie en prime. Au cœur de son raisonnement, une évidence : le travail convient peut-être aux Japonais, aux Américains ou aux Allemands ; pas au génie de la France, pas à la créativité des Français. Alors, mettons les Français en vacances, ils retrouveront le sens de l'effort – et l'économie s'en portera mieux.
Servie par la plume d'un bel écrivain, cette thèse est un peu révolutionnaire. Enfin!
Et Xavier Patier le prouve, chiffres à la clef, avec beaucoup d'ironie en prime. Au cœur de son raisonnement, une évidence : le travail convient peut-être aux Japonais, aux Américains ou aux Allemands ; pas au génie de la France, pas à la créativité des Français. Alors, mettons les Français en vacances, ils retrouveront le sens de l'effort – et l'économie s'en portera mieux.
Servie par la plume d'un bel écrivain, cette thèse est un peu révolutionnaire. Enfin!
- Hors collection
- Paru le 21/02/1992
- Genre : Essais et documents
- 144 pages - 140 x 205 mm
- EAN : 9782710305088
- ISBN : 2710305089