L'idiot du palais

« Deniel-Laurent mélange savamment suspense et plongée dans un monde aussi fascinant que terrifiant. »
Livres Hebdo - Alexandre Fillon

« Bruno Deniel-Laurent déploie sous nos yeux un premier récit plein de promesses, un roman d'apprentissage déroutant. »
Le bruit des livres

« Son style ciselé sans maniérisme aucun, sa juste coupe entre illuminations sensuelles et ombres portées, sa violence contenue, son extrême élégance même quand il s’agit de signifier l’humiliation ou la déchéance... »
Le Salon littéraire - Frédéric Saenen

« Un premier roman âpre à la lucidité quasi douloureuse »
Le soir - Pierre Maury

« C’est un premier roman et c’est drôlement bien! (...) j'ai été conquise »
lapetitechronique.com

« Il y a du génie dans L’idiot du palais. Il est difficile de le définir tant ce court premier roman résolument moderne de Bruno Deniel-Laurent est riche. »
adepetedulivre.com

« ll est évident que L'idiot du Palais déborde d'originalité. (...) Ce pourrait être du Eugène Sue (genre Les Tout Nouveaux Mystères de Paris), c'est plutôt du Brecht. Mais un Brecht pessimiste. Un Brecht mâtiné de Beckett. »
Sud Ouest - Gérard Guégan

« C'est dur, rugueux...un tableau précis et bien fait de ce monde à part »
Le Canard enchaîné - André Rollin

« Premier roman aiguisé et recherché, non sans quelques douceurs dissimulées au détour des boulevards maréchaux ou d'une rue de Montreuil. Court et affûté comme un rasoir avec lequel il peut arriver de se couper, L'Idiot restera une surprise de cette rentrée, un livre subtilement engagé. »
Librairie Millepages

« On peut lire ce premier roman comme une fiction mais aussi comme un document terrifiant sur les enclaves juridiques qui prospèrent présentement au cœur de Paris. Car au palais, le droit français n'a pas cours, ni en matière de travail ni en matière de mœurs. »
Le Figaro - Sébastien Lapaque

« Et c’est pourquoi L’idiot du Palais est ce livre génialement antipathique, antipathiquement catholique, qui, à quelques niveaux existentiels que l’on se place, dévoile la vénalité de nos affections. »
Causeur.fr - Pierre Cormary

« Sarcastique à souhait. »
Chronic'art

« Un récit effrayant et pourtant captivant, dont Dusan va sortir par le haut, après avoir traversé des événements qui le dépassent totalement. »
Ouest France

« Le décor est intriguant. Un roman d'atmosphère. »
Le nouvel Observateur - Chloé Thibaud

« On peut extraire un très bon roman d'une expérience professionnelle apparemment sans intérêt. »
Figaro littéraire -Astrid de Larminat

« L'idiot du palais est une parabole glaçante, parce qu'on la subodore d'une parfaite justesse. »
Carole Zalberg, Discours prononcé lors de la soirée Premiers romans

« Bruno Deniel-Laurent traite du courage de dire non, de comprendre ce qui compte le plus dans la vie. Son roman se lit avec plaisir. »
Blog des Arts

« Saluons un propos direct, une écriture efficace aux références moins discrètes qu'ironiques (...), l'originalité même (...) du décor et de la situation dans laquelle évoluent les personnages travaillant dans le Palais, plantés assez habilement par l'auteur. »
Juan Asensio Blog

« Sorte de fable moderne jetant le jeune Dusan dans les intrigues, les frasques sinistres et la tyrannie dorée du palais parisien d'un couple princier de quelque pétro-monarchie. Un premier roman salué par la critique. »
Haut-Anjou

« La qualité littéraire singularise L'idiot du Palais, étrange roman presqu'en apesanteur. »
Côté Mag - Michèle Paquot

« Bruno Deniel-Laurent réussit le tour de force d'écrire un roman balzacien dépouillé et de faire de ce Palais une terrible mais lucide parabole de notre monde. »
Encres vagabondes - Sylvie Lansade, Encres vagabondes, 1 décembre 2014.

« Un tableau précis et bien fait d'un monde à part. »
Le courrier de l'Ouest

« Pour son premier roman, Bruno Deniel-Laurent nous emmène dans l'enfer secret et sucré d'un simulacre des Mille et une Nuits...»
Unidivers

« Brillant premier roman narrant les affres d'un anti-héros d'origine serbe. (...) Le point fort du roman est cette ambiance sombre et étouffante que parvient à habilement installer l'auteur et dans laquelle le lecteur se retrouve presque suffocant au bout d'à peine quelques pages. (...) Rapide et cinglant voyage au bout de la nuit parisienne. »
Présent - Xavier Erman