« Le Havre est un évident check-point, et Jérôme Soligny est son ambassadeur... Comme du Sagan dans la saga, comme si d'un coup c'était son sang qu'il avait transfusé dans l'encrier, il écrit avec une nervosité insoupçonnée. »
Les Inrockuptibles - Jean-Luc Manet
Ce roman très juste dit la sidération et la rage de se voir mourir à 25 ans quand on a tant à faire et dresse le portrait exact d'une génération dont les survivants ont vu leur insouciance fracassée par la maladie. »
Le Monde des Livres - Raphaëlle Leyris
« Dans un écriture qui sonne comme une ligne de basse, Soligny, chez qui pointe le regret de n'avoir pas su écouter, fait monter l'émotion avec ce rêve de grand amour comme dans "Il était une fois la révolution" . »
Le Canard Enchaîné
« Son récit d'outre-tombe emprunte autant à l'énergie rock qu'au nihilisme punk pour faire revivre une fratrie et l'exaltation de la jeunesse. Un très bel hommage à l'amitié, à la vie... à la mort. »
Le Nouvel Obs - Camille Tenneson
« Soligny livre une histoire intime d' "une mort pas belle", pleine de finesses, de chair artistique, toujours pudique... »
Sud Ouest - Patrick Scarzello
« Un premier roman triste et lumineux. »
Télé 2 semaines - Guillaume Tesson
« Jérôme Soligny a eu besoin de lancer, une fois pour toutes, ce cri du coeur qu'il a tu pendant vingt-cinq ans. »
Obskure Mag - Sébastien Desbarres
« Soligny maîtrise l'écriture rock pour mieux montrer que la musique n'a jamais sauvé de vies. Quoique... »
Paris-Match - Benjamin Locoge
« Avec la musique pour logique fil conducteur, le récit prend d'abord à la gorge, aux tripes ensuite, au-delà de son rythme enlevé et de tournures de phrases qui font mouche. Les larmes ne sont pas loin au moment de refermer le livre. Fort, très fort. »
Rolling Stone - Xavier Bonnet
« La belle plume, alerte, incisive, distanciée sans être blasée, l'humour, la sensibilité à fleur de peau et évidemment son goût pour la musique et les histoires, qu'on vive dans les beaux quartiers parisiens ou sur les quais du port du Havre. Dans ce roman comme dans ses chansons, pas de faute de rythme, pas de gras. Et un final, qu'on ne vous dévoile pas pour ne pas tuer la surprise, aussi réussi que culotté. »
Le Parisien - Eric Bureau
« Le sujet n'est pas musical mais le rythme et la prosopopée de Jérôme le sont. Et puis à la fin, une petite page éclaire tout le livre et on se dit qu'on va recommencer à la lire, maintenant qu'on sait. Telle une chanson qu'on brûle de réécouter. »
Rock & Folk- Philippe Manoeuvre
« Si le roman est captivant, c'est par le style de Soligny, son sens du détail, ses comparaisons et son ryhtme de phrases courtes, ses belles saisies. »
Musiciens Biz - Ben Popp
« On connaissait Soligny musicien, compositeur, biographe et critique musical. On le découvre auteur et muni d'une plume juste qui écorche le coeur. Ce court roman fulgurant : il laisse derrière lui une traînée de poussière d'étoiles. »
Babélio
« Je suis mort il y a vingt-cinq ans convoquera quelques fragments de notre histoire à chacun, quelques ressentis subjectifs et respectifs autour des notions de deuil, de temps, d'amitié et de cette jeunesse qui, comme le disait Gaston Puel, restera pour toujours notre "éternel été" à tous. »
Cultureopoing.com - Bruno Piszorowicz
« Il y a des passages à vous transpercer le coeur et à vous faire réfléchir sur le vrai sens de l'amitié et de la vie sans que cela ne soit jamais lourd ou redondant. On faisait confiance à la plume de Jérôme Soligny pour cela : c'est un pari gagné. »
Babélio
