« Un récit sensible, qui parlera à chacun. »
Librairie L'Autre Rive (Nancy)
« Stéphane Émond témoigne avec une sensibilité à fleur de peau de l'existence des siens dans l'Argonne de son enfance où la forêt imposait aux hommes un art de vivre. »
L'Ardennais - Yanny Hureaux
« Stéphane Émond avance d'un souvenir à une sensation, d'une découverte, d'une révélation simple, à une rêverie féconde. Tout parle, se répond calmement. Il suffit de simplement prêter attention. »
Le Monde des Livres - Xavier Houssin
« Ce livre s'inscrit dans une filiation, celle de récits poétiques où les lieux sont de véritables personnages vivants et les êtres qui les habitent des comparses. »
Le Figaro littéraire - Étienne de Montety
« L'hommage poignant d'un "déraciné" à son pays. »
Famille chrétienne - Diane Gautret
« Cet ouvrage est documenté, érudit, tout en finesse, émouvant. Il s’intéresse aussi au sort des petits, des sans-grades, dans la guerre et l’exode. Il est aussi traversé par la poésie. C’est un bel hommage à l’Argonne que l’auteur donne envie de connaître. »
La Montagne - Muriel Mingau
« Subtil et beau. »
L’Union – Gilles Grandpierre
« L’auteur de ce récit serré, dense, est avant tout libraire. Ce récit fait de lui un écrivain désormais, au style épuré, classique et envoûtant. »
La Croix – Christophe Henning
« Stéphane Émond dresse un superbe tombeau de papier à tous les siens. Sa parole juste émeut, il n’a pas renié ses origines : "Argonne" est un magnifique ouvrage d’artisan. »
La Vie – Yves Viollier
« Stéphane Émond souhaitait redonner de la voix à ceux qui n’en ont plus. C’est une magnifique réussite. »
L’Est Éclair – Jean-Philippe Blondel
« On ne voudrait pas que ce récit délicat et scrupuleux soit écrasé par les 490 nouveaux romans qui vont fondre sur les librairies comme les oiseaux de Hitchcock sur Bodega Bay. […] Stéphane Émond a tort de penser qu’il a rompu la lignée des artisans. Il la prolonge avec "Argonne", beau livre sculpté à la main. »
L’Obs – Jérôme Garcin
« Stéphane Émond dévoile le tragique avec une sobre justesse. […] On lit "Argonne" comme on descend dans le puits obscur d’une certaine histoire de France. »
Transfuge – Oriane Jeancourt
« Les chapitres sont brefs, la langue est simple et précise, comme il sied quand on n'a pas la prétention ou l'illusion de ressusciter le passé mais seulement de faire entendre sa présence ténue, son affleurement dans le temps présent. »
Études - Emmanuel Godo