« Un des écrivains les plus brillants de la fin du XXe siècle. »
Le Monde des Livres - Florent Georgesco
« Dès le texte d'ouverture, on retrouve le style Berthet, ce mélange d'humour décontracté et d'inquiétude cravatée qui prendra dans la suite de son œuvre des accents tantôt kafkaïens tantôt fitzgéraldiens. »
Lire - Louis-Henri de La Rochefoucauld
« On y retrouve tout ce qui le constitue, tout son charme : des jeunes gens modernes, la France de la fin des années 70, des filles qui jouent au tennis comme on tombe amoureuse, la grâce paradoxale de la bourgeoisie, des tours en voiture et à la campagne, de la métaphysique. »
Sud-Ouest - Olivier Mony
« Berthet est un grand écrivain,[…] la façon dont il voit le monde est unique en son genre. »
Feu sur le quartier général - Jérôme Leroy
« Ces mots [...] traduisent à merveille ce vers quoi tend l'art de Frédéric Berthet : quelque chose de l'ordre de l'esquisse et de l'esquive, du fragment contre le récit au long cours, de la sensation contre la psychologie, de la toile pointilliste contre la fresque monumentale. »
Culturopoing - Vincent Roussel
« Dans quel autre livre voit-on un jeune homme mettre une cassette d'Edith Nylon dans son autoradio pour tenter de séduire sa passagère ? Rien que pour ça... »
L'Express - Jérôme Dupuis
« Les journées sont belles et chaudes et les dialogues si spirituels qu'on voudrait les emporter. Berthet y capture toute la splendeur des vacances, les glaces qui fondent, les longues soirées, et ce moment décisif où, pour la première fois, on voudrait que la vie ressemble pour toujours à l'été. »
ELLE - Marguerite Baux
« Sous des apparences d'une légèreté ironique et gracieuse, une ode nostalgique et féroce au temps qui passe trop vite. »
Biba - Joëlle Goron
