Correspondances

Correspondances

(1973-2003)

De longues missives en billets lapidaires, Frédéric Berthet n'a cessé de déployer son talent d'épistolier. Captivantes et drôles, tendres ou insolites, parfois bouleversantes, ces lettres inédites laissent apparaître les multiples facettes de l'écrivain, mais aussi de l'ami qu'il fut pour Roland Barthes, Philippe Sollers, Michel Déon, Jean Echenoz, Patrick Besson, Pierre Bayard, Éric Neuhoff et bien d'autres. Il s'y révèle tour à tour séducteur enjoué, expert en facéties et, à ses heures favorites, fin pêcheur à la ligne.
  • Vermillon
  • Paru le 20/01/2011
  • Genre : Littérature française
  • 448 pages - 140 x 205 mm
  • EAN : 9782710330967
  • ISBN : 9782710330967

Autour du livre

On en parle...

« Berthet avait un don pour l'élégance et la mélancolie. »

Livres Hebdo - Alexandre Fillon

« C'est un document attendu. »

Paperblog - Marc Villemain

« Nos lecteurs réguliers (...) savent notre admiration pour Frédéric Berthet (disparu en décembre 2003) et notre quasi vénération pour son Daimler. »

L'Editeur Singulier

« (...) Berthet fut un maître. Jusque dans sa correspondance, à la beauté fragile, fantaisiste, poignante. »

Le Figaro - Christian Authier

« Le gaillard était animé d'une épistolarite plaisante, quoique normaliante. »

L'alamblog - Eric Dussert

« Ici, Berthet écrit. À Marcel Pagnol et Jean-Paul Sartre tout d'abord, pour les inviter en son lycée lyonnais. Puis, trente ans durant (1973-2003), à tout ce que Paris compte d'âmes bien nées et de lecteurs avisés. »

Sud-Ouest - Olivier Mony

« Ses contemporains l'avait compris très tôt : cet éternel jeune homme était promis à un grand avenir littéraire. »

Le Monde - Amaury da Cunha

« Ses lettres, expédiées et reçues, donnent un aperçu de la vie littéraire française des années 1980 et 1990, et permettent de faire connaissance avec un personnage fin et sensible, rempli de talent et débordant de projets. »

Corsica - Robert Colonnna d'Istria

« A lire cette prose qui sortit si justement de l'ordinaire, on ira toujours s'éblouir...ou s'amuser. »

Télérama - François Gorin

« ...le portrait intime d'un élégant arlequin à la vie ébauchée, suicidaire, quoique vécue. »

Libération, supplément Livres

« De courtes lettres, des cartes postales, des brèves insouciantes, de longues missives il y a là un vivier de littérature grouillante, incisive, attachante. Il n'y a pas d'apprêt. Rien que des mots qui claquent. »

Courrier picard - Philippe Lacoche

« Correspondances éclaire la vie d'un homme de lettres des plus sensibles qui, au-delà d'une noirceur certaine, possédait un sens inné de l'humour et de la fantaisie, de l'ironie aussi. »

Le Journal du centre - Robert Guinot

« La correspondance de Berthet ressemble à un beau catalogue de célébrités littéraires. »

L'Express Styles - Pascal Ceaux

« Brillantes, touchantes, elles brossent un portrait en pleins et en déliés. »

Les correspondances - Emmanuel Rimbert,

« Frédéric Berthet correspond sans être toujours là, du moins pas où il est attendu... Correspondre pour lui signifie: danse, jonglerie, acrobatie, art du trapèze, dessins dans la marge des courriers, impatience, frénésie. Et à la fin, dans son cas, tomber prématurément. »

Revue de deux mondes - Jean-Philippe Rosignol

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