« Un récit minutieux et lyrique. »
Livres Hebdo - Olivier Mony
« Ce huis clos dissimule une violence superbe sous une délicatesse de phrasé et de vocabulaire extrême. »
L'Hebdo - Isabelle Falconnier
« Katherine Mosby est bien partie pour appartenir à la génération des plus grands. »
La Revue littéraire - Stéphanie des Horts
« Une romancière qui maîtrise fond et forme pour un vrai bonheur de lecture. »
Le Monde - Pierre-Robert Leclercq
« [Un] style impeccable de retenue. »
Le Figaro Magazine - Nicolas Ungemuth
« Ne vous privez pas de ce nouveau bijou, où l'on retrouve l'extraordinaire art du portrait, le phrasé élégant et délicat, le goût de raconter [...] qui caractérisent l'auteure. »
La Vie - Marianne Dubertret
« Le style, le souffle et la grâce qui traversent ce somptueux "Sanctuaires ardents" placent ce livre aux côtés des plus grands romans sudistes ; on pense à Faulkner et à Capote. »
Anne Ghisoli (Librairie Le Divan)
« Ce roman excelle dans la peinture de la nature autant que dans celle des passions humaines. »
Le Nouvel Observateur - Claire Julliard
« Le texte respire la liberté, l'imagination, la tendresse »
Le Matricule des Anges - Yves Le Gall
« Katherine Mosby doit être la petite-nièce cachée de Francis Scott Fitzgerald, ou de Truman Capote. »
Lire - Christine Ferniot
« Un roman plein de fureur et de grâce. »
Notre Temps - Jean-Michel Ulmann
« Quel talent ! »
ELLE - Isabelle Lortholary
« Une ode magnifique à la singularité »
France Culture - Cécile Guilbert
« [Une] prose lumineuse, fluide, poétique. »
Le Figaro - Eric Neuhoff
« Le premier roman de Katherine Mosby est déjà une œuvre de la maturité. »
Le Soir - Pierre Maury
« Un vrai bonheur [...] Un livre particulièrement rare. »
RTL - Hélène Bourdin
« Katherine Mosby avait su captiver ses lecteurs avec "Sous le charme de Lilian Dawes". Elle récidive toujours aussi habilement avec "Sanctuaires ardents". »
L'Essor Sarladais - Jean-Luc Aubarbier
« Un romantisme assumé, sans vulgarité ni platitude. »
Grazia - Marguerite Baux
« Du souffle, du suspense... et de l'émotion. »
Marianne - Alexis Liebaert