Pour Malraux suivi de Nervures invisibles
Hervé Gaymard adresse à Malraux une lettre pour lui témoigner son admiration et sa gratitude : Malraux a donné un sens à sa vie, une légitimité à son gaullisme. Il l'a incité à monter à Paris pour s'y enivrer de littérature, puis à parcourir l'Orient pour y trouver le reflet de ses aspirations. Il semble même lui demander le secret d'un retour de l'espoir et de l'héroïsme, notions politiquement incorrectes.
Avec le recul de dix années, l'auteur a rédigé, en guise d'épilogue, une nouvelle lettre qui résume ce qu'un homme d'aujourd'hui, en France, peut attendre de la voix de Malraux. En fait, l'essentiel – hisser sa conscience, pas sa vie, en une certaine attitude. Gaymard, en somme, continue de rêver ce que Bernard-Henri Lévy qualifiait ainsi : «votre gaullisme, tendance Altenberg».
Avec le recul de dix années, l'auteur a rédigé, en guise d'épilogue, une nouvelle lettre qui résume ce qu'un homme d'aujourd'hui, en France, peut attendre de la voix de Malraux. En fait, l'essentiel – hisser sa conscience, pas sa vie, en une certaine attitude. Gaymard, en somme, continue de rêver ce que Bernard-Henri Lévy qualifiait ainsi : «votre gaullisme, tendance Altenberg».
- La petite vermillon (n° 256)
- Paru le 16/11/2006
- Genres : Essais et documents - La Petite Vermillon
- 144 pages - 110 x 175 mm
- EAN : 9782710329251
- ISBN : 2710329255