On s'embrasse pas?

La nuit sentait la bière solitaire et la gueule de bois de la quarantaine. Surtout, il y avait cette envie de revenir qui venait de naître en moi loin, très loin, là où se dessinent les grands destins et les catastrophes.

Après quinze années d'errance à travers le monde, un homme, désenchanté, revient échouer dans ce qu'il lui reste de famille. À la manière d'un ange noir, il va méthodiquement défaire la vie tranquille de tous ceux qu'il retrouve.
  • Vermillon
  • Paru le 23/08/2007
  • Genre : Littérature française
  • 208 pages - 140 x 205 mm
  • EAN : 9782710329138
  • ISBN : 9782710329138

Autour du livre

On en parle...

« Michel Monnereau. Un auteur touche-à-tout et prolifique. »

Charente libre - Dominique Briongos

« Ne passez pas à côté de cette prose piquante. »

InterCDI

« Cet ouvrage conçu comme un thriller nous tient en haleine de la première à la dernière ligne. »

Flashebdo - Jill Arquié

« La plume incisive de Michel Monnereau fait des merveilles, son sens de la formule est irrésistible et son ironie crève l'abcès jusqu'au bout. »

Vient de paraître

« Sa prose est [...] précise, mordante, acide. »

Notes bibliographiques

« Reprenant à son compte une histoire inusable, Michel Monnereau en renouvelle joyeusement le traitement grâce à une écriture enlevée et à un humour noir salvateur. »

Figaro madame - Alexandre Fillon

« A la fois amusant, ironique et philosophique. A lire. »

Le Quotidien de la Réunion et de l'Océan Indien

« Michel Monnereau vient d’un continent taciturne nommé poésie. Une sacrée réussite. »

Le Nouvel Observateur - Patrice Delbourg

« La gouaille cynique du narrateur fait de ce naufrage familial un texte jubilatoire. »

Onlit

« Michel Monnereau revient avec une escale familiale bien sentie, pour l'impossible rencontre entre cynisme facile des éternels absents [...] et l'assoupissement existentiel des destins cramponnés à leurs horizons prosaïques. »

Famille chrétienne - Clotilde Hamon

« Chaque phrase est une mécanique de précision. »

L'Humanité - Bruno Vincens

« C'est très réussi l'on attend déjà le troisième roman de Michel Monnereau. »

Kiosq - Pol-Jean Mervillon

« Dans ce second roman, Michel Monnereau porte à son apogée le ton personnel et l'humour incisif salués par la critique dans les Carnets de déroute. »

La Montagne Noire

« On rit, on s'émeut, mais au-delà de tout, on félicite l'auteur d'avoir su montrer la bonté essentielle de ces petites gens. »

Page - Jean-Marc Froidure

« Chaque instant pétille d'esprit et le cynisme est ici une vraie jouissance. [...] C'est tout simplement magnifique. »

Publiq'

« Au-delà du portrait d'un individu, c'est celui d'une époque qui est tracé, d'un mode de vie. [...] Un roman sans doute en dehors des normes livresques du moment. Et c'est là une raison de lire Monnereau. »

La Tribune de la région minière- Lucien Wasselin

« Un roman superbe, sublimement écrit. »

parutions.com

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