Mamma, li Turchi !

Mamma, li Turchi !

Que Stefanie et Mathilde, qui ont dix-huit et vingt ans, aient envie d'apprendre l'italien, rien de plus naturel. En revanche, quelles vicissitudes conduisent-elles Nathalie, une lesbienne sexagénaire, Guérassime, un moine orthodoxe, et Raoul, un cinéaste libertin, à devenir, eux aussi, des écoliers italomaniaques?
Mamma, li Turchi! (de grâce, prononcez «Tourki») est un roman d'amour, un roman sur l'amour en Italie et l'amour de l'Italie, sur le goût du bonheur, sur les passions non conformes, sur la résistance à l'ordre moral qui est en train de crétiniser la planète.
L'allègre société secrète que forment, à Paris, à Venise et à Naples, ces fervents de la langue italienne est en vérité bien attachante.
  • La petite vermillon (n° 222)
  • Paru le 28/10/2004
  • Genres : Littérature française - La Petite Vermillon
  • 240 pages - 110 x 175 mm
  • EAN : 9782710327370
  • ISBN : 2710327376

Autour du livre

On en parle...

« Qu'importe, Pasolini, D'Annunzio auraient applaudi à ce Oman nimbé de nostalgie aussi bien que d'adagietto de la Cinquième de Mahler. »

Figaro magazine - Arnould de Liedenkerke

« Matzneff, c'est un ton, une allure, un genre qui n'est qu'à lui, un composé dont il a le secret de passions et de distance, la cambrure d'un style éduqué chez Chamfort mais avec des ferveurs soudaines à la Byron et des fraîcheurs à la Tintin. »

Le Point - Claude Imbert

« Matzneff corrosif, impertinent, sincère, jeune éternellement - mais la part belle du roman est l'ombre qui s'avance sur la vie d'un homme solitaire qui se voulut libre et vrai. »

Le Monde 

« Mamma li turchi !, ni appel aux armes, ni appel au secours, est un nostalgique rendez-vous de civilisation; badin et léger, coûte que coûte. »

Figaro littéraire - Philippe Sénart

« Insoumis, stoïque, égocentrique d'une rare fidélité, Matzneff promène sa carte du Tendre en Italie (...) en charmante compagnie, avec panache, à la recherche des lieux magiques pas encore perdus, ce qui subsiste de l'Italie d'autrefois, là où la sérénité ne connaît pas de crispations. »

Valeurs actuelles - Alfred Eibel 

« Matzneff défend la liberté des moeurs, l'amour vécu et non pas socialement codifié, la quête de la beauté, et celle (individuelle) de Dieu. Sans oublier la langue, le style, le roman. »

La Liberté 

« A mille lieux des produits formatés, entre confessions de publicitaire et autre recyclage de faits divers, voici le roman d'un de nos écrivains les plus racés. »

L'Opinion indépendante - Christian Authier 

« Ce roman vindicatif, amer aussi, est réjouissant. »

Petites affiches / La Loi - Bertrand Galimard Flavigny 

« Voici un livre d'une singulière résonance, où les passions non conformes et la résistance à l'ordre moral qui est train de crétiniser la planète, nous invitent à reconnaître que, même sur un bateau qui tangue, on peut (et on doit) gerder les pieds sur terre. »

La Montagne - Jean-Louis Gauthier

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