Le juste milieu

Le juste milieu

[The Golden Mean]

    • Traduction (Anglais) : David Fauquemberg
Aristote était un être de chair et de sang, et Alexandre le Grand, un adolescent plein de doutes et d'arrogance. Lorsqu'en 342 avant Jésus-Christ, le philosophe devient précepteur du futur roi de Macédoine, la relation qui s'établit est aussi singulière et enrichissante pour l'un que pour l'autre. Par ses démonstrations très concrètes sur une table de dissection, comme par ses réflexions éthiques et métaphysiques, Aristote transmet à son jeune élève la notion de «juste milieu», point d'équilibre entre deux extrêmes, si difficile à atteindre. De son côté, le fougeux Alexandre, qui désire déjà ardemment «ouvrir la gueule pour avaler le monde entier», offre des perspectives au maître peu aventureux que son père lui a choisi.

Des cahutes enfumées aux chambres du palais, Annabel Lyon lève le voile sur deux hommes illustres dont l'admiration réciproque et l'intelligence ont transformé le monde. Au fil de dialogues incisifs et souvent très crus, elle explore avec finesse et jubilation des thèmes aussi universels que la transmission du savoir, les rapports filiaux, les conflits de génération, les jeux de pouvoir.
  • Quai Voltaire
  • Paru le 25/08/2011
  • Genre : Littérature étrangère
  • 336 pages - 135 x 220 mm
  • EAN : 9782710365167
  • ISBN : 9782710365167

Autour du livre

On en parle...

« Cette fiction d'une romancière canadienne confirmée, lauréate de plusieurs prix, est haute en couleurs et en saveurs. »

Le Monde - Roger-Pol Droit

« Le Juste Milieu prend le parti d'un récit avec des dialogues dans une langue parlée qui paraît anachronique mais donne chair à des personnages historiques. »

Libération

« Avec un bel aplomb, la Canadienne dépeint dans son premier roman le philosophe grec Aristote comme un être de chair et de sang. »

Aujourd'hui en France Dimanche

« Elle nous offre, sous le titre Le juste milieu, une évocation très parlante de ce que nous savons de la biographie du philosophe le plus froid qui fut jamais. »

Monde et Vie - Joël Prieur

« Des personnages autres qu'Aristote et Alexandre traversent ces pages et nous permettent de découvrir une civilisation qui a permis de bâtir un monde auquel nous pouvons encore référer. »

À l'écoute des livres

« Un sujet ambitieux, étonnamment maîtrisé pour un premier roman, celui d'une Canadienne qui réussit à nous transporter dans une Antiquité truculente. »

ELLE oriental - Anne Smith-Rossignol

« D'une érudition exempte de toute cuistrerie, la Canadienne Annabel Lyon... réussit à rendre contemporaines la vie et l'oeuvre de personnages vieux de vingt-quatre siècles - la crudité de certains dialogues aide à l'entreprise. Son premier roman est une merveille de finesse et d'intelligence: ce n'est certes pas tous les jours qu'on est invité, même comme lecteur, à se promener dans les rues de Pella au bras des deux plus grands génies de leur temps. Encre moins à voir naître un future maître du monde: il n'y en eut pas tant que cela après Alexandre le Grand. »

Le Figaro Magazine - Jean-Christophe Buisson

« Elle décrit avec jubilation la transmission du savoir, levant ainsi le voile sur deux hommes illustres dont l'admiration réciproque et l'intelligence ont transformé la civilisation. »

La Gazette Nord pas de Calais - Patrick Beaumont

« De cette fresque, on retient une audace et une verve intenses, ainsi qu'une grande crédibilité historique. On s'y croirait! On aime parce que ce morceau d'Histoire est rendu captivant par le style vivant d'Annabel Lyon. »

So What?

« Annabel Lyon nous offre un inestimable rêve éveillé : une vie aux côtés du maître de la logique. Elle entretien l'illusion avec l'art d'une magicienne. Chaque minute du spectacle est savoureuse. »

La Vie

« On voit la vie telle qu'elle était en ces temps »

Paris Match - Gilles Martin-Chauffier

« Pas de prétention: il ne s'agit en rien de développer le système de pensée d'un homme qui influença largement la philosophie occidentale, mais de donner vie à des personnages figés dans leur statut historique. »

La Croix - Dominique Quino

« Un roman brillant. » Mémoire des arts « Une des portes enchantées vers les plus hautes heures de l'Antiquité »

Blog de Thierry Guinhut

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