« 123 pages tenues, tendues, portées par la colère et le chagrin ... Certains livres sont des tombeaux, d'autres des prières. Celui-ci est l'un et l'autre. »
Livres Hebdo - Olivier Mony
« Sous la plume de (Jean-Marc Parisis) renaît un type inimitable, aimé et détesté à la fois, capable de faire preuve d’enthousiasme et de lâcheté, qui plaçait la vie au-dessus de l’écriture. Un saint, patron un peu pirate, un peu gitan, sans cesse partant pour « foutre la merde ». Un « éditeur fou d’édition » qui éditait à l’instinct, se montrait toujours soucieux de biffer les grandes phrases vaines et que la recherche d’un titre excitait. »
Sud Ouest - Alexandre Fillon
« Jean-Marc Parisis rend un hommage émouvant à son éditeur, comme Jean Échenoz le fit à la mort de Jérôme Lindon. »
Le Figaro Magazine - Frédéric Beigbeder
« Un petit livre tendre et chagrin, brillant et cinglant. »
Le Nouvel Observateur - Jérôme Garcin
« Seuls ceux qui connaissent le sens du verbe aimer sont capables d'admirer. Et l'exercice d'admiration auquel se prête ici Jean-Marc Parisis est bouleversant. »
Le Point - Albert Sebag
« Une vision du monde contemporain extra-lucide, ennoblie par une vision quasi métaphysique de la disparition, de la fuite, de la séparation. »
La Cause littéraire - Laurence Biava
« Un superbe livre »
L'Express - Marianne Payot
« Sensibilité, élégance, la marque de l’art littéraire de Jean-Marc Parisis. Son livre est un roman, un vrai, qui, comme tout vrai roman, ne parle pas de son sujet. »
Antoine Senanque blog
« Avec cet essai, Parisis poursuit un autre but que celui de bien parler d'un ami mort : il jette un pavé dans la mare. »
Le Figaro - Etienne de Montety
« Dans un récit insolent et serré comme l'auteur de La Comédie légère savait lui-même les écrire, il fait, sans complaisance ni pathos, l'éloge d'un éditeur "allergique aux parlottes des comités de lectures qui décidait seul de la publication d'un livre". »
La Provence - Jérôme Garcin
« Jean-Marc Parisis (... ) signe ce qui est sans conteste le plus beau portrait, le plus poétique, c'est-à-dire le plus juste, d'un éditeur insolent de liberté, dont le manque s'est fait cruellement, tristement sentir lors de la dernière rentrée. »
Les InRocKuptibles - Nelly Kaprièlian