La Maison de Salt Hay Road

La Maison de Salt Hay Road

    • Traduction (Anglais) : Cécile Arnaud
Trois générations cohabitent cahin-caha dans la maison de Salt Hay Road, au cœur de Long Island : Scudder, le patriarche bourru ; Roy, son fils célibataire endurci ; Mavis, sa fille revenue au nid ; et Nancy et Clayton, les enfants de sa fille aînée, morte cinq ans plus tôt. Quand Nancy rencontre Robert Landgraf, un ornithologue en vadrouille sur l'île, c'est le coup de foudre. En un mois, elle accepte sa demande en mariage et décide de le suivre à Boston. Tout l'édifice qui sous-tend cette singulière famille s'en trouve alors ébranlé.

Par son traitement sensible des caprices de la nature comme miroir des sentiments humains, Carin Clevidence livre, dans ce premier roman, le portrait délicat d'une famille à la dérive que la meurtrière tornade de l'automne 1938 va définitivement bouleverser.
  • Quai Voltaire
  • Paru le 30/08/2012
  • Genre : Littérature étrangère
  • 320 pages - 135 x 220 mm
  • EAN : 9782710366997
  • ISBN : 9782710366997

Autour du livre

On en parle...

« Très beau roman qui relate les deux années que vont vivre ensemble une famille atypique ; un frère et une sœur orphelins, à l'aube de leur vie d'adulte entourés d'un grand père, d'un oncle et d'une tante. Réunis dans la maison familiale de Salt Hay Road, dans un paysage qui n'est pas sans rappeler la Baie du Mont Saint Michel par ses marées et sa culture, ce seront deux années de transition, de construction et de bouleversement pour tout ce petit monde avant le départ vers leurs vies respectives. Magnifiquement mis en scène par une écriture tout en finesse, une superbe découverte. »

Librairie le Détour

« Sur la plage abandonnée se déchaine un tsunami familial et sentimental. »

Madame Figaro

« Un premier roman délicat où l'auteur par son écriture simple et sensible décrit les sentiments des personnages comme les paysages malmenés de ce coin de terre sauvage. »

L'Est Républicain 

« L'exercice se veut ici brillant, avec un début et une fi en forme de boucle à l'image du destin qui nous rattrape toujours ou du serpent qui se mord la queue. L'occasion aussi de faire le point sur une époque pas aussi bénie que certains l'affirment, où la petitesse des gens se combine à la grandeur de l'Histoire, qui poursuit inexorablement son bonhomme de cheimin. Cet essai réussi présage une œuvre littéraire attendue avec impatience. »

Bruxelles news

« Deux tornades, une naturelle et une familiale viennent pulvériser un équilibre familial patiemment construit. »

La lettre du libraire

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