« C'est un livre curieux et composite. À la fois carnet mondain, ce Journal est aussi politique, polémique. »
Livres Hebdo - Jean-Claude Perrier
« Curzio Malaparte était un sinistre individu, mais un écrivain passionnant. (...) On a le droit de se contredire, chez lui c'était un art. Qui n'allait pas sans de charmants éclairs de lucidité. »
Le Point - Christophe Ono-dit-Biot
« Extraordinaire. »
Le Figaro magazine - Nicolas Ungemuth
« Pour l'écrivain qui se moque de l'existentialisme sartrien, Paris est une fête, des quartiers bourgeois aux boulevards populaires. Curieux, extravagants, (...) on retiendra surtout, dans ce texte inachevé, publié en 1967 et devenu introuvable, que Malaparte est un dandy adorateur de la France, de sa langue, de sa culture... et de ses comédiennes. »
Télérama
« Il est divin. Je l'ai lu trois fois ! »
France Inter "Le Masque et la Plume" - Michel Crépu
« Son Journal est (...) un document passionnant sur l'intelligentsia de l'après-guerre, vue à travers le regard désabusé d'un très grand écrivain. »
La Croix - Francine de Martinoir
« Ce journal est dans tous les cas passionnant. (...) Derrière le destin personnel de Malaparte se dessinent les courants de pensée de l'Europe d'après-guerre, l'effervescence de la vie parisienne, l'émergence des grandes figures de ces décennies. »
La Cause littéraire - Léon-Marc Levy
« Ce Journal est celui d'un véritable écrivain. On y trouve un regard et un style. Rien n'est plus important pour le lecteur. (...) Curzio Malaparte mérite le titre de plus français des écrivains italiens. À lire, plutôt deux fois qu'une. »
Blog Morlino
« Choses vues, scènes intimes, rencontres avec le Tout-Paris de l'après-guerre, pages splendides sur Chateaubriand, son autre maître français : une lucidité admirative et impitoyable sur la France et ses paradoxes. »
Le Magazine littéraire - Bernard Fauconnier
« Ses observations sont la plupart du temps faites de petits riens, mais tout son art réside dans la façon de les raconter qui n'appartient qu'à lui, fulgurant dans le détail, l'atmosphère recréée. (...) Tout est sublime chez ce Goya désespéré qui peignit le pathétique et le grotesque, la misère et la grandeur dans un même élan furieux. »
Lire - Fabrice Gaignault
« Un écrivain génial et paradoxal. »
Service littéraire - François Cérésa