« Habité par une gravité inédite chez Halfon, ce roman tout en tension explore magistralement la possibilité de faire le tri entre ses traumas et ses racines. »
Le Monde des Livres - Ariane Singer
« On ne sait jamais si on est dans un récit ou dans une fiction. Ce trouble signe le talent de Halfon, dont la prose est d'une clarté presque aveuglante. »
Le Figaro littéraire - Éric Neuhoff
« "Tarentule" constitue la nouvelle pierre angulaire d'une œuvre cohérente et puissante. Chaque livre d'Eduardo Halfon fait écho aux précédents. Et prouve le besoin impérieux de leur auteur de s'approcher au plus près de la vérité. Un grand roman, tout simplement. »
Transfuge - Alexandre Fillon
« Ce roman, qui n'en est pas vraiment un, condense toute la grâce, tout l'art d'une étrange beauté évanescente de l'auteur. »
Sud-Ouest - Olivier Mony
« Le talent de l'écrivain né au Guatemala en 1971 fait encore des miracles dans ce petit volume : une pierre supplémentaire, bizarrement taillée, un peu baroque comme on le dit des perles, apportée à l'édifice singulier, ironique et attachant de son autobiographie littéraire. »
La Croix - Emmanuelle Giuliani
« Un magnifique texte, lucide, apaisé, parfois drôle, où s'entremêlent ce genre de souvenirs dont on ne sait pas s'ils tiennent du rêve ou de la mémoire refoulée, les apparences trompeuses qui nous font prendre un renard pour un chat, et toujours la peur en fil rouge. »
La Tribune Dimanche - Martin Dorléac
« Avec ce nouveau roman, le virtuose Eduardo Halfon poursuit entre fiction et réalité, passé et présent, son exploration de la mémoire, du pouvoir de l’imagination, de son identité juive et guatémaltèque et de la transmission d’une histoire familiale ou collective. »
Florilettres - Élisabeth Miso
« Ce texte a une construction très particulière. À chaque fois qu'une histoire semble vouloir s'installer, elle est interrompue. Fin de chapitre, cliffhanger. Ce suspense répété donne au texte un élan incroyable. »
Libération - Natalie Levisalles
« Un livre porté par la grâce, et qu'on referme à regret. »
Télé Z - Samuel Loutaty