« Rien n'est indigne de la poésie: le déambulateur, les lunettes, le pèse-personne, le téléphone mobile. Rien n'échappe à l'attention du poète, à son intérêt. Il scrute, pointe des mots les incohérences de notre époque et réaffirme aussi son amour de la Beat Generation. ça pulse, ça vibre et je n'ai qu'une hâte: entendre ce soir Lucien Suel faire vivre avec intensité ses textes. »
Cathulu
« On y retrouve ses thèmes de prédilection. Il y a là le Nord et ses paysages miniers, l’attention portée à ses morts, l’attrait exercé sur son écriture par les auteurs de la Beat Generation, la présence constante du rock, du blues, du jazz, la nécessité de se réserver des moments de répit, de retrait, au milieu des fruits et légumes de son jardin tout en préparant la prochaine escapade. Chaque chose est vécue avec simplicité et intensité. »
Remue.net - Jacques Josse
« Un livre coq-à-l’âne, fait d’alternances formelles, un livre variable, alternatif voire, qui gambade sur le cocasse, l’absurde, la dérision, offre une danse des mots (une danse d’indien), qui multiplie les joies d’écrire : à l’évidence, Lucien Suel s’appuie sur le profond plaisir d’écrire. »
Poézibao - Jean-Pascal Dubost
« Après lecture, vous regarderez les boutons, l'eau (H2O), et le téléphone portable autrement. »
La Voix du Nord
Lucien Suel était au micro de Sophie Nauleau dans Ca rime à quoi sur France culture le 22 juin 2014