« Avec une grande finesse psychologique, Nadia Terranova fait éclater les non-dits de la famille, le puissant écho des dialogues muets. Elle nous offre des lignes que l'on voudrait envoyer à nos proches pour tenter de combler cette distance, qu'elle décrit si bien, entre nous et ceux qui partagent nos vies. »
Causette - Lauren Malka
« D'une subtilité psychologique rare, Nadia Terranova trouve les mots justes pour décrire les drames cachés. Son roman évolue peu à peu vers la lumière. »
Livres Hebdo - Kerenn Elkaïm
« Ce second roman bouleverse avec une simplicité lumineuse. C'est trois fois rien. De la beauté au compte-gouttes. »
Le Figaro littéraire - Éric Neuhoff
« Le roman intense et beau d'une introspection minutieuse et sans complaisance. »
Libération - Frédérique Roussel
« Nadia Terranova tricote son introspection dans la veine des Annie Ernaux, Christine Angot, avec le souci extrême du mot juste, de la phrase qui s'approche au plus près. »
L'Alsace - Annick Woehl
« Un récit fort bien mené et porté par une écriture sensible. »
La Petite Revue - Alexia Kalantzis
« La prose subjugue par sa beauté, ou comment faire de trois rien un très beau drame à l'italienne. »
Grazia - Marguerite Baux
« Terranova arrange sublimement les contraires. Elle manie ensemble (avec une aisance folle) le réalisme et le symbolique, flirtant bien souvent avec le fantastique. [...] La beauté de cette œuvre, elle, demeure, inébranlable. »
Le Monde des Livres - Zoé Courtois
« Nadia Terranova avoue avoir bataillé contre elle-même pendant plus de deux ans pour écrire ce roman, son plus intime, sur la disparition d'un père. »
L'Obs - Véronique Cassarin-Grand
« L'auteur, d'une écriture sensible et envoûtante, décrit avec justesse la souffrance provoquée par l'absence et les non-dits. »
L’Est-Éclair - Lyliane Mosca
« Un grand livre. »
La Cause littéraire - Philippe Leuckx