« Tout est écrit à demi-mots touchés par la grâce, en courts tableaux débordant d’humour, et ces pages qui ressuscitent les chers disparus sont transportées par une saisissante foi en la vie. »
La Vie - Yves Viollier
« Une enquête où la mémoire des camps, les coutumes mayas, les souvenirs d’enfance, réfléchis par tous les miroirs déformants possibles, rivalisent pour composer une multitude d’histoires. »
L'Humanité - Alain Nicolas
« Eduardo Halfon est un sacré écrivain. »
Le Matricule des Anges - Thierry Guichard
« Eduardo Halfon frappe une nouvelle fois par la précision et la musicalité de sa prose. Par son regard lumineux et son souci de vérité. »
Lire - Alexandre Fillon
« L’écriture d’Eduardo Halfon, autant que les événements qu’il raconte, donne son prix à ce livre. »
Libération - Virginie Bloch-Lainé
« C’est un petit volume qui recèle plus de trésors que bien des gros pavés. Trésors de délicatesse et d’humour, d’étrangeté et de profondeur propices à envoûter le lecteur, à le faire osciller doucement entre réflexion et sensation. »
La Croix - Emmanuelle Giuliani
« De cet enfant mort, on ne dit rien. Alors l’écrivain collecte les secrets, arpente sa généalogie… Et élabore une poignante prière à l’absent. »
Télérama - Nathalie Crom
« Une enquête familiale vertigineuse… un récit d’une extraordinaire richesse. »
Espaces latinos - Christian Roinat
« Eduardo Halfon s’y entend comme personne pour faire de tout secret, de toute mémoire, une œuvre. La sienne, l’une des plus importantes de ce temps. »
Sud-Ouest - Olivier Mony
« Sa patrie littéraire est celle de l’autobiographie, la poésie, le monde fantastique, l’humour élevé au rang de grand art, les phrases polies comme des galets, l’économie de mots scandés à la manière d’une ritournelle. »
Le Figaro littéraire - Isabelle Spaak
« Avec un entêtant dépouillement, un sens très sûr du raccord et de l’ellipse, Eduardo Halfon revient sur les traces du frère de son père, Salomon. L’occasion de nous livrer, avec une discrétion dont l’effacement de soi vire à l’omniprésence, le récit d’un exil, le portrait en creux d’un pays, de l’insoutenable banalité des drames intimes. »
La Viduité - Marc Verlynde
« En virtuose, l’écrivain guatémaltèque Eduardo Halfon même l’enquête sur la mort d’un oncle et l’histoire de sa famille hantée par le deuil. Somptueux. »
Le Monde des Livres - Ariane Singer
« Une splendide épopée intime et minimaliste au royaume de la mémoire. »
Transfuge - Damien Aubel
« En quelques phrases courtes et percutantes, l’écrivain guatémaltèque brasse un siècle de deuils et d’aventures. »
Livres Hebdo - Kerenn Elkaïm
« On est vite envoûté par la belle voix de baryton et par l'humour plein d'ellipses et de paradoxes de cet écrivain au charme implacable, empreint d'émerveillement et de désillusion. »
Revue des Deux Mondes - Lucien d'Azay