D'encre, de fer et de feu

Lettres à Henry Charpentier (1914-1918)

Notice sur Henry Charpentier par Françoise Charpentier-Morel et Paul Morel

    • Édition de : Laurence Campa
«Oui, je vous revois encore, morts des combats inexpiables, qui êtes tombés là-bas, sur les pentes de la Colline sanglante ou dans le creux du ravin maudit, et qui êtes restés couchés sur le sol, crispés et raidis, pendant les longues journées de la Bataille, sans qu'aucune main pieuse ait pu venirLire la suite
  • Hors collection
  • Paru le 06/11/2008
  • Genre : Littérature française
  • 272 pages - 210 x 310 mm
  • EAN : 9782710330851
  • ISBN : 9782710330851

Autour du livre

On en parle...

« On l'avait oublié. Il méritait ce bel hommage qu'on lui rend aujourd'hui. »

Livre Hebdo - Jean-Claude Perrier

« Il a sa place, dans la crypte du Panthéon, aux côtés des écrivains fauchées dans l'élan, inaccomplis, et dont l'oeuvre demeure à jamais une promesse. »

Le Nouvel Observateur - Jérôme Garcin

« Pour raconter l'apocalypse, traduire ce qui échappe à la raison, (Louis Krémer) use de toutes les armes dont dispose un écrivain : le lyrisme de l'effroi, la violence de la colère, l'énergie du désespoir, mais aussi le comique troupier et l'humour noir. »

La Provence - Jérôme Garcin

« Il y a, chez ce fantassin de 2e classe englué dans la boue sanglante, une incroyable faculté de chercher et de trouver le mot juste (...) C'est effroyable et très beau. »

La Corse - Edmonde Charles-Roux de l'Académie Goncourt

« Une correspondance d'une grande qualité littéraire, accompagnée de dessins émouvants, par un jeune poète mort dans les tranchées. Le talent fauché à la source. »

La Vie

« Soucieux de décrire avec justesse le quotidien innomable, le désastre de ces années terribles, le jeune poète devenu écrivain au fil des lettres, associe lyrisme, références littéraires, ironie et colère, parfois humour et légèreté. »

Florilettres - Nathalie Jungerman

« (C)es lettres (...) constituent un irremplaçable témoignage de première main sur la boucherie que fut la Première Guerre mondiale. (...) Les descritpions de Krémer n'ont jamais rien de larmoyant : il les écrit d'une plume d'airain, comme il écrivait ses poèmes. »

L'Humanité - Christophe Mercier

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