Croquis de mémoire

Nouvelle édition en 2018

De Mitterrand et Pompidou à Cocteau et Sartre en passant par Malraux, Gaston Gallimard, Orson Welles, Genet, Camus, Lacan, Mauriac et Montherlant, de Coco Chanel à Ava Gardner, de Hemingway à Luis-Miguel Dominguin, et à bien d'autres «personnalités» – sans oublier le trajet de l'auteur de sa province à Paris et à Saint-Germain-des-Prés –, Jean Cau croque au hasard de sa plume des visages, des lieux et des situations surgis de sa mémoire. Il note «des impressions qui ne se sont pas délavées, des dialogues capturés jadis et naguère, des idées miennes sur les personnages qui ont traversé la scène, au cours de ma vie, et sur moi-même, principal acteur de celle-ci».
Alors, grâce à la maîtrise d'un style incomparable, de notations à la fois brillantes et retenues, grâce à une lucidité et à une sincérité de ton aujourd'hui fort rares, l'auteur de Croquis de mémoire, en se promenant dans les jardins du passé, a composé ici un magnifique bouquet de souvenirs, aux fleurs, feuillages et épines mêlés, et d'où montent les parfums de nos temps perdus et de notre histoire retrouvée.
  • La petite vermillon (n° 267)
  • Paru le 04/01/2018
  • Genres : Essais et documents - La Petite Vermillon
  • 272 pages - 110 x 175 mm
  • EAN : 9782710387534
  • ISBN : 9782710387534

Autour du livre

On en parle...

« Je pense que c’est un chef-d’œuvre ! »

Fabrice Luchini

 

« Les portraits de Jean Cau sont absolument somptueux. »

France 5 "La Grande Librairie" - François Busnel

 

« Le livre le plus réjouissant que j’aie lu ces derniers mois. »

L'Obs - Patrick Rambaud

« Un authentique chef-d’œuvre, enfin réédité ! »

La Principauté - Viviane Le Ray

 

« Ennemi de l’ingratitude, le portraitiste au style acéré n’est pas un biographe et encore moins un hagiographe. Il témoigne, lance une épuisette invisible pour tenter de rapporter quelques scènes vécues et restituées avec son style qui ressemble à un coup de fouet domptant le langage, le sien, avec une tension grammaticale qui sonne juste. Bien écrire là où ça fait parfois mal, voilà une politesse que Jean Cau n’a jamais perdue de vue. »

Service littéraire - Bernard Morlino

 

« Un portraitiste de génie aussi pertinent dans l’admiration (parfois) que dans la détestation (souvent). »

Challenges - Maurice Szafran

 

« Hommes politiques, cinéastes, philosophes, poètes, lieux ou personnalités sont saisis sur le vif, pris la main dans le sac. »

Valeurs actuelles - Thomas Morales

 

« Une galerie de portraits sans concession. »

La Nouvelle Quinzaine littéraire - Marion Bet

« [Cau] ne croque pas ; il mord, dévore, embroche et fait rôtir se proies comme des petits cochons. »

Le Point - Marine de Tilly

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