Brève vie de Katherine Mansfield

Brève vie de Katherine Mansfield

[Vita breve di Katherine Mansfield]

Nouvelle édition

    • Traduction (Italien) : Brigitte Pérol
Katherine Mansfield née en 1888 en Nouvelle-Zélande, morte en France en 1923, a écrit quelques-uns des plus beaux et des plus célèbres récits de ce siècle. Plus qu’un simple écrivain, elle est vite devenue comme Virginia Woolf ou Franz Kafka, un personnage fabuleux, une sorte de mythe moderne représentant exemplairement un destin de l’époque. Changeante, adorable, inquiète, fragile, têtue : voici une jeune fille soucieuse d’être belle, à la mode, amoureuse, qui s’enfuit, revient, tombe malade, meurt jeune ; mais aussi un écrivain de premier ordre, jamais dupe d’elle-même, toujours en quête – dans la vie comme dans l’écriture – de quelque chose qui fuit éternellement regards et désirs humains.
  • Quai Voltaire
  • Paru le 18/02/2016
  • Genre : Littérature étrangère
  • 208 pages - 115 x 190 mm
  • EAN : 9782710378266
  • ISBN : 9782710378266

Autour du livre

On en parle...

« De ligne en ligne reflue l'émotion. Tant de poésie aussi. Un portrait tout en nuances de Katherine Mansfield. »

Sud-Ouest - Isabelle Bunisset

« Critique italien d'une grande finesse d'esprit, d'une érudition souple et joueuse Pietro Citati rappelle... que l'auteure de The Garden Party... était une âme ardente, vivant avant tout pour ces instants où la beauté donne l'impression d'être pleinement vivant. »

Le Poulailler - Fabien Ribery

« Pietro Citati rend un magnifique hommage à l'écrivaine néo-zélandaise... un portrait sensuel, vibrant d'émotion, avec un sens étonnant du détail. »

Le Temps - André Clavel

« Citati a saisi admirablement la personnalité de Katherine Mansfield... Une photographie témoigne de la beauté et des exigences de cet être sans concession. Pour les lectures épris d'absolu. »

Blog des Arts

« Les mots à fleur de peau. »

Libération Next - Xavier Houssin

« D'abord la fragilité. Voilà ce qui émeut chez Kathine Mansfield, si pâle sous son casque de cheveux noirs, avec ses lèvres à peine ourlées et son regard attentif, inquiet, son regard de naufragée. »

Le Nouvel Observateur - Frédéric Vitoux

« Je préfère dire tout le bien que je pense du portrait de Katherine Mansfield que nous brosse un Italien inspiré, Pietro Citati. »

L'Évènement du jeudi - Michel Polac 

« Citati (...) s'approche au plus près de la personnalité de son héroïne. Et le résultat est saisissant. Katherine est éclairée de l'interieur, les contradictions de sa fragilité impitoyable sont résolues. Grâce à Citati, l'ombre est lumière. »

Le Point - Manuel Carcassonne

« Pietro Citati donne son plein emploi à l'art du portrait, en ressuscitant cette siilhouette avec beaucoup de charme et de tact. »

Le Monde - François Bott

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