« Il parle sans fard d'atteinte à la dignité humaine, d'une justice au-dessus des lois. »
Livre Hebdo - Alexandre Fillon
« Koskas est le grand peintre des catastrophes intimes. (...) l'ensemble est toujours mené par une écriture vive et naturelle »
Marianne - Patrick Besson
Marco Koskas était l'invité de Pierre-Louis Basse dans l'émission "Faites comme chez vous"
sur Europe 1 le 25 février 2007
« Le désarroi de Marco Koskas a donné naissance à une brûlante oeuvre littéraire. »
Politique magazine - Benoît Gousseau
« Marco Koskas raconte en chroniqueur lucide, sensible et indigné, un scandale presque ordinaire. »
Ouest France
« Sa langue est nue, son récit implacable, sa dénonciation sans pitié. »
La Montagne Noire
« Une histoire à la Kafka »
Presse Belge - Henri Raczymow
Marco Koskas était l'invité de Pierre Rancé dans l'émission "Paroles d'accusés"
sur Europe 1 le 31 mars 2007
« Dans une langue direct, cru, avec dérision parfois, il pose la question essentielle : pourquoi avouer si on est innocent ? »
Notes Bibliographiques
« Avoue d'abord (...) est un profond et violent cri de douleur. »
Essor Sarladais - Jean-Luc Aubardier
« On s'intéresse jusqu'au bout à ce combat contre l'absurde. »
Paris Match - Jérôme Béglé
Marco Koskas était l'invité de Monique Atlan dans l'émission "Un livre"
diffusée sur France 2 le 17 juillet 2007
« Marco Koskas met en pièce la procédure judiciaire »
Le Journal de la Haute Marne
« Un récit-témoignage vertigineux »
L'Arche - Caroline Sidi