« Annabel Lyon, qui n'accable jamais son lecteur sous le poids de son érudition, nous replonge dans nos humanités classiques d'une manière simple et vivante. Elle dépoussière sans tomber dans l'anachronisme ni la réécriture idéologique. »
Livres Hebdo
« La Canadienne Annabel Lyon réussit à rendre contemporaine l'histoire antique. »
Blog des arts - Alain Vollerin
« Son nouveau roman, Aristote, mon père (...), évoque brillamment le destin inouï et contrarié de la fille du philosophe grec : une femme dont l'intelligence se mariait mal à une époque où comptaient d'abord les apparences. »
Le Figaro magazine
« Elle montre une capacité à renouveler le roman historique. »
France Culture - Florent Georgesco
Aristote, mon père conseillé par Jérôme Garcin dans Corse Matin du 12 septembre 2014. «
Un roman qui exhale le souffre des temples, le sang des femmes et les larmes de la tragédie. »
L’Essor Sarladais - Jean-Luc Aubardier
« La Grèce du IVème siècle lui sert simplement de trame, sur laquelle elle entrecroise et fait se répondre destins historiques et personnages de fiction. Une méthode qu'elle avait expérimentée avec son dernier succès, "Le juste milieu" (...). Et qui, cette fois encore, ne manque pas de faire mouche. »
Géo Histoire
« Aristote, mon père est une merveille de fiction historique, écrite dans une langue alerte où se mêlent poésie, discussions philosophiques et propos crus. »
Etudes - Marie Goudot
« Un ouvrage de vulgarisation distrayant dans un langage moderne. »
Notes bibliographiques
« Un contraste savoureux entre un style moderne énergique, très simple, et le contexte antique. On est porté par un texte où l'originalité le dispute à l'élégance. »
La Vie - Marianne Dubertret
« Un roman prenant (...) aux lisières du roman philosophique féministe »
Blog de Thierry Guinhut