Aristote, mon père

[The sweet girl]

    • Traduction (Anglais) : David Fauquemberg
Pythias, la fille d'Aristote, a été élevée à l'égal des hommes. Elle fait figure d'exception à Athènes, puis en Macédoine où elle est contrainte de s'exiler : c'est elle, et non son frère cadet, qui assiste Aristote dans ses travaux, provoque les collègues de son père par ses remarques pointues, et se rêve en philosophe, scientifique ou sage-femme. La mort d'Aristote disperse ses biens et sa famille à travers la Macédoine, laissant Phytias seule, en décalage avec cette société qui nie l'existence d'une conscience féminine, et l'oblige à se confronter à la réalité d'un monde dont elle s'était toujours tenue écartée.

Après Le Juste Milieu, qui évoquait la relation entre le jeune Alexandre le Grand et son précepteur Aristote, Annabel Lyon renouvelle le défi ambitieux d'écrire l'Antiquité d'une plume actuelle et spontanée. Aristote, mon père exhale le soufre des temples, le sang des femmes et les larmes de la tragédie.
  • Quai Voltaire
  • Paru le 28/08/2014
  • Genre : Littérature étrangère
  • 240 pages - 135 x 220 mm
  • EAN : 9782710369851
  • ISBN : 9782710369851

Autour du livre

On en parle...

« Annabel Lyon, qui n'accable jamais son lecteur sous le poids de son érudition, nous replonge dans nos humanités classiques d'une manière simple et vivante. Elle dépoussière sans tomber dans l'anachronisme ni la réécriture idéologique. »

Livres Hebdo

« La Canadienne Annabel Lyon réussit à rendre contemporaine l'histoire antique. »

Blog des arts - Alain Vollerin

« Son nouveau roman, Aristote, mon père (...), évoque brillamment le destin inouï et contrarié de la fille du philosophe grec : une femme dont l'intelligence se mariait mal à une époque où comptaient d'abord les apparences. »

Le Figaro magazine

« Elle montre une capacité à renouveler le roman historique. »

France Culture - Florent Georgesco

Aristote, mon père conseillé par Jérôme Garcin dans Corse Matin du 12 septembre 2014. «

Un roman qui exhale le souffre des temples, le sang des femmes et les larmes de la tragédie. »

L’Essor Sarladais - Jean-Luc Aubardier

« La Grèce du IVème siècle lui sert simplement de trame, sur laquelle elle entrecroise et fait se répondre destins historiques et personnages de fiction. Une méthode qu'elle avait expérimentée avec son dernier succès, "Le juste milieu" (...). Et qui, cette fois encore, ne manque pas de faire mouche. »

Géo Histoire

« Aristote, mon père est une merveille de fiction historique, écrite dans une langue alerte où se mêlent poésie, discussions philosophiques et propos crus. »

Etudes - Marie Goudot

« Un ouvrage de vulgarisation distrayant dans un langage moderne. »

Notes bibliographiques

« Un contraste savoureux entre un style moderne énergique, très simple, et le contexte antique. On est porté par un texte où l'originalité le dispute à l'élégance. »

La Vie - Marianne Dubertret

« Un roman prenant (...) aux lisières du roman philosophique féministe »

Blog de Thierry Guinhut

Du même auteur

Vous aimerez aussi

Ce site utilise des cookies nécessaires à son bon fonctionnement, des cookies de mesure d’audience et des cookies de modules sociaux. Pour plus d’informations et pour en paramétrer l’utilisation, cliquez ici . En poursuivant votre navigation sans modifier vos paramètres, vous consentez à l’utilisation de ces cookies.

fermer