« Sur le terreau de l’histoire des pionniers américains, Tracy Chevalier livre un mélo érudit et prenant. »
Avantages - Isabelle Bourgeois
« Tracy Chevalier tisse des liens subtils entre les destins, les morts et les naissances, entre les filiations et les transmissions de savoir, au sein des cycles d’une nature âpre et grandiose. C’est ainsi qu’en progressant, le livre, absolument réaliste, voire naturaliste dans la tradition de Zola, jouant avec l’alternance des voix, devient de plus en plus prenant, en apparence aussi simple d’écriture que subtil de conception. »
Le Matricule des Anges - Thierry Guinhut
« Réflexion puissante sur la faculté de renaissance de toute vie hors de son foyer natal, le nouveau roman de Tracy Chevalier mêle rudesse et espérance. […] Tracy Chevalier multiplie et croise les genres littéraires avec un sens dramaturgique irréprochable. Elle donne vie et saveur à chaque scène, intime ou épique, solitaire ou chorale, triviale ou quasi philosophique. »
La Croix - Emmanuelle Giuliani
« Passionnant ! »
Femme actuelle - Marc Gadmer
À l’orée du verger de Tracy Chevalier par Céline Vignon de la librairie « Mots et images » à Guingamp
France Culture "Le temps des Librairies"
« Un roman absolument formidable »
France 2 "Télématin" - Damien Thévenot
« Un souffle romanesque qui retrace des destinées broyées sur fond de grands espaces. »
ELLE - Pascale Frey
« Sur un terreau historique propice à son sens du romanesque, Tracy Chevalier nous livre un tableau saisissant de la vie des pionniers. »
Les Echos - Frédérique Humblot
« À l’orée du verger raconte l’histoire des pionniers à travers la voix singulière d’une famille liant son destin à celui des arbres. […] La romancière aime raconter l’Histoire en l’abordant par le biais des humbles. »
Le Figaro Littéraire - Françoise Dargent
« Porté par ses personnages tous incroyablement incarnés, son décor naturel, sa violence jamais appuyée, À l’orée du verger vous emporte et vous bouleverse d’un bout à l’autre. »
Lire - Alexandre Fillon
« Une magnifique épopée qui unit les hommes et les arbres dans une âpre lutte pour la vie. »
Télé Loisirs - Marina Kacan
« Tracy Chevalier signe un roman au parfum entêtant [qui] se révèle aussi marquant que Le Parfum de Patrick Süskind. Ce n’est pas peu dire. »
Le Parisien Magazine - François Vey
« Tracy Chevalier plonge les mains dans l’histoire des pionniers et dans celle, méconnue, des arbres : de la culture des pommiers au commerce des arbres millénaires de la Californie. Elle rend hommage à ces hommes et ces femmes qui ont construit les États-Unis. »
Ouest-France
« Hyperdocumenté, riche en informations scientifiques et géographiques, donnant envie de se précipiter dans l’Ohio ou à Calaveras Grove, éclairant l’histoire de la naissance du tourisme aux Etats-Unis autant que celle de la conscience écologique occidentale, ce huitième livre n’en est pas moins très romanesque, maniant les registres narratifs avec aisance, passant du roman épistolaire au discours indirect libre pour camper des personnages attachants, héros méconnus d’une histoire dont nous sommes les héritiers directs, et qui n’a pas fini d’être récrite. »
L'Hebdo - Isabelle Falconnier
« La romancière mêle réalité et fiction, roman et théâtre, passé et présent dans un récit tourmenté et bruissant de nature, où se bâtit aussi l’Amérique. Elle a du souffle et du style, le sens de l’épique comme du minuscule. »
Télérama - Fabienne Pascaud
« Une fois encore l’auteur réussit son pari : nous instruire et nous enchanter. »
Version Femina - Laurence Caracalla