Le Café Julien

Le Café Julien

[The Wicked Pavillion]

Suivi de Dawn Powell, romancière américaine par excellence par Gore Vidal, traduit de l'anglais par Mirèse Akar

    • Traduction (Anglais) : Nathalie Zimmermann
Brasserie à la française, le Café Julien, à New York, est dans les années 40 un lieu incontournable. Certains ne font que s'y croiser, d'autres s'y retrouvent régulièrement pour se lamenter et rêver de gloire future en sirotant un brandy. Les uns sont riches, fréquentent le grand monde ; les autres sont miséreux, saisissent la moindre occasion de se faire payer un verre. Tous ont cependant le sentiment d'avoir une histoire commune et, lorsque le Café ne sera plus, ce seront autant de destins qui disparaîtront : «Ceux qui avaient été liés par le Julien se dispersèrent comme des brins de paille lorsque la corde qui retient la botte est coupée, et se souvinrent du nom et du visage de chacun comme des éléments d'un rêve qu'ils ne referaient jamais.»
  • Quai Voltaire
  • Paru le 10/01/2008
  • Genre : Littérature étrangère
  • 400 pages - 135 x 220 mm
  • EAN : 9782710329688
  • ISBN : 9782710329688

Autour du livre

On en parle...

« L'œil incisif de Dawn Powell tricote finement cette farandole de personnages. [...] L'occasion de découvrir l'humour délicieux de la romancière. »

Muze

« Une comédie humaine qu'elle mène avec beaucoup d'élégance et un grand sens du détail. »

La Montagne Dimanche

« Dawn Powell est avant tout une merveilleuse conteuse. »

La Croix - Marie-Valentine Chaudon

« Un univers fitzgéraldien. »

La Marseillaise

« Une plume acide et humoristique. »

Notes bibliographiques

« Une peinture insolente de la société new-yorkaise, servie par une plume acide comme une rondelle de citron amer dans un ginfizz. »

Valeurs actuelles

« Dawn Powell, c'est Paul Auster une génération avant : une romancière à atmosphère. »

Version Fémina - Dominique Bona 

« C'est irresistible. D'une mélancolie à éclater souvent de rire. »

Le Nouvel Observateur - Frédéric Vitoux

« Dawn Powell en pleine forme. »

Madame Figaro - Stéphane Hoffmann

« C'est le New York des années 1940, dans toute sa frivolité, ses ambitions et son hypocrisie, qui est ressuscité. »

Point de Vue

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