Adieu, Alice

Adieu, Alice

[All I wanted was Company]

Nouvelle édition en 2017

    • Traduction (Anglais) : Claude-Nathalie Thomas
Américain et asthmatique, Norman ne supporte ni la solitude ni la vie citadine. Avec Alice, il part pour Tanger et sa douceur méditerranéenne. Quand Alice meurt, Norman survit dans un état d'apensanteur comme si chacun de ses gestes allait briser le dernier fil qui le retrient à la vie. Il tombe amoureux de Miss Toledano, qui dirige la Bibliothèque américaine de Tanger. Tout ce qu'il désire, c'est un peu de compagnie... Mais, autour de lui, les gens disparaissent ou fuient vers d'autres horizons.
  • La petite vermillon (n° 142)
  • Paru le 01/06/2017
  • Genres : Littérature étrangère - La Petite Vermillon
  • 256 pages - 108 x 178 mm
  • EAN : 9782710384014
  • ISBN : 9782710384014

Autour du livre

On en parle...

« Un roman envoûtant qui vous prend et ne vous lâche plus. »

Atmosphères

« Un "retour au désert" étrangement apaisant, à découvrir. »

Valeurs Actuelles - Agnès Séverin

« Une prose limpide, ciselée, envoûtante. Adieu, Alice est un roman d'amour en creux, un chant désespéré et tranquille. »

Madame Figaro - Eric Neuhoff

« Si l'on cherche de la compagnie, le roman de John Hopkins est un ami sûr. »

Figaro magazine - Bertrand de Saint-Vincent

« L'atmosphère désenchantée et languissante de ce roman est bien rendue par un style froid et assez sec. »

Notes bibliographiques

« Étrange et beau roman, celui de l'absence et de l'apesanteur, où la ville de Tanger, devant une insignifiance si étudiée et des sentiments tout en demi-teinte, prend tout son poids. »

Jeune Afrique Economie - Christian Castéran

« Un récit sensuel sur Tanger et ses sortilèges. »

Version Femme

« Adieu, Alice est un magnifique roman sur l'absence, le vide, notre solitude et l'impossible amour. »

Le Havre Libre

« Les livres de John Hopkins sont empreints de cette feinte désinvolture qui est l'apanage des gens bien élevés en pays anglo-saxons. »

ELLE - Marie-Caroline Aubert

« Un grand roman tragique qui fait penser à la fois à Paul Bowles et à Camus. »

La Croix - Olivier Barrot

« (Un) très beau roman. »

Pleine Vie

« Roman sur l'absence, sur la discrétion des sentiments amoureux, cette oeuvre perpétue le souvenir de cette ville mythique dont on ne se défait jamais, Tanger. »

La Marne - Nadine Saidenberg

« De très bons rendus sur les sentiments, l'insécurité, la maladie psychologique de Normann. »

L'Echo de Régional - Jean Aubert

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